Sebastian Monti

EN BREF

 

Cette saison et en 2024-25 : Rôle titre dans Platée à l’Opéra de Schloss Waldegg (Suisse), les rôles de Lucano, due Soldati dans L’incoronazione di Poppea à l’Opéra de Rennes et en tournée de concerts avec Le Banquet Céleste, Calisis (Les Boréades) au Oldenburg Staatstheater, Le Prince dans la création de Régis Campo La Petite Sirène à l’Opéra de Nice, Le Bourgeois gentilhomme (Lully) à l’Opéra de Graz (dir. K. Junghänel).

 

 

 

BIOGRAPHIE

 Dès le début de sa carrière, le ténor franco-italien Sebastian Monti interprète les rôles-titres dans Actéon de Charpentier avec les Talens Lyriques dirigé par Christophe Rousset, Atys de Lully au Megaron d’Athènes, Platée de Rameau à l’Opéra de Massy, Orphée dans Orphée et Euridice de Gluck avec Les Goûts-Réunis dirigés par Dominique Daigremont.

Il chante par ailleurs Orfeo dans Le Carnaval de Venise de Campra dirigé par Dominique Daigremont, Nanki Poo dans The Mikado de Gilbert et Sullivan dirigé par David Stern, Apollon dans Le Pouvoir de l’Amour de Pancrace Royer dirigé par Patrick Bismuth. Il participe à la production de Alcione de Marin Marais sous la direction de Jordi Savall à l’Opéra-Comique, à l’Opéra Royal de Versailles et au Théâtre de Caen. « Belle découverte » pour son Apollon lumineux, il impressionne par « une déclamation idéale, un timbre sans aspérité ni contraintes, une vraie voix de haute-contre qu’il faudra suivre. » (Classic News). Il est aussi Pedrillo dans Die Entfhürung aus dem Serail dirigé par Marcus Bosch au Festival de Heidenheim, et dernièrement, il était Le Marquis de Tarapote dans La Périchole dirigé par Marc Minkowski à Versailles.

En concert, il chante l’Evangéliste dans la Passion selon St Jean de Bach à la Philharmonie de Berlin dirigé par Gerhard Oppelt, Vespero della Beata Virgine de Monteverdi et San Giovanni dans La Passione di Gesù Cristo de Schuster avec Collegium 1704 dirigé par Vaclav Lucks. Sebastian est aussi Il Consiglero dans San Giovanni Battista de Stradella avec l’Ensemble Diderot dirigé par Iñaki Encina Oyon, Il Tempo dans Il Trionfo del Tempo e del Disinganno dirigé par Louis Créac’h et Jonathan dans Saul de Haendel dirigé par Till Aly.

Sa flexibilité vocale l’amène à interpréter Ramiro dans La Cenerentola de Rossini, Varo dans Arminio de Haendel avec Armonia Atenea dirigé par George Petrou au Festival Enescu de Bucarest, Mister Ford dans Falstaff de Salieri avec l’Ensemble Diderot, Teobaldo dans Giulietta e Romeo de Zingarelli au Theater an der Wien, Frontino dans LEquivoco stravagante de Rossini dirigé par José Miguel Pérez-Sierra au Festival de Bad Wildbad où il est remarqué pour la « crânerie avec laquelle il se lance dans la Cavatine de Mitridate Se di lauri il crine adorno, agile, nuancé et audacieux. » (ForumOpera). Il a également chanté le rôle-titre dans Zaïs de Rameau à l’Opéra de Biel-Solothurn (TOBS, Bienne) / Nutrice et Arnalta dans L’incoranazione di Poppea de Monteverdi pour Oper Schloss Waldegg. 

En 2022-23 et cette saison, Sebastian fait ses débuts au Oldenburg Staatstheater dans le rôle de Calisis dans Les Boréades de Rameau sous la direction d’Alexis Kossenko, il est Rinuccio (Gianni Schicchi) et Gonzalve (L’Heure espagnole, Ravel). Il chante aussi Marzio dans Mitridate de Mozart mis en scène par Ralf Pleger sous la direction de Lars Ulrik Mortensen au Royal Danish Opera (Copenhague et Malmö) et est ténor solo dans le Requiem (Gilles) à l’Opéra Royal de Versailles avec le Helsinki Baroque Orchestra. Il interprète le rôle titre dans une production scénique de Platée à l’Opéra de Schloss Waldegg (Suisse), puis les rôles de Lucano, due Soldati dans L’incoronazione di Poppea à l’Opéra de Rennes, Le Prince dans la création de Régis Campo La Petite Sirène à l’Opéra de Nice et dans Le Bourgeois gentilhomme (Lully) à l’Opéra de Graz (dir. K. Junghänel).

 

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